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Effets spéciaux au cinéma, expositions à la Tour Eiffel et à la Cité des Sciences

avril 30, 2018 - Actualités

Venez tester des effets spéciaux en grandeur réelle au premier étage de la tour Eiffel, dès le 17 avril et jusqu’au 1er juillet 2018, dans le cadre de l’animation : « Effets spéciaux : ça tourne à la Tour ! » http://www.tour-eiffel.fr

C’est une coproduction avec la Cité des sciences et de l’industrie où vous pouvez voir :  » Effets spéciaux, crevez l’écran !  » jusqu’au 26 août 2018.
http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/expos-temporaires/effets-speciaux-crevez-lecran/lexposition/

En se référant à des films populaires, des publicités, des séries à succès, l’exposition présente les différentes techniques de trucages qui nourrissent l’innovation, la création et la magie du cinéma.

                 

Petite précision : on parle de cinéma, pas d’hologramme, ni même de stéréoscopie malgré les lunettes rouges et bleues de l’affiche.

Je ne suis pas retournée à la Tour Eiffel depuis fort longtemps, mais il y avait autrefois, au 2ème étage, une petite salle avec quelques hologrammes dont la Tour Eiffel d’ Hololaser, éclairée au laser et à l’envers, qu’on pouvait traverser physiquement, car elle était placée face au public, au fond de la salle, contrairement à des corridors holographiques latéraux ou les visiteurs passent devant les hologrammes sans les voir. J’ai tenté de savoir si cette salle existe toujours, mais à 35 cts la minute, j’ai renoncé, n’aimant pas le racket.

C’est au LOBE à Besançon, à l’époque dirigé par le Pr Viénot, qu’ont été réalisés, d’abord la Vénus de Milo en 1975, le plus grand hologramme du monde 1mx1.50m. par Jean Marc Fournier et Gilbert Tribillon,

Nous avons exposé cette Vénus, dès la première exposition d’hologrammes à Paris, au Forum des Halles, en janvier 80, puis l’ouverture du Musée de l’Holographie en mars 1980

Le LOBE était ouvert aux artistes, Paula Dawson y a réalisé plusieurs œuvres, dont des portraits animés avec Nicole Aebischer dont Insomnie 30×40 cm par réflexion, dans notre collection, et le salon, plaque sur verre de 1mx1.50m, trois mètres cubes, avec cette représentation d’un salon,  » There’s no place like home ». Le faisceau laser a été divisé en différentes parties de façon à donner l’impression qu’un spot éclaire le lampadaire.

      Nous avons présenté cette oeuvre à la Maison de la Radio au début des années 80.

Il est devenu très rare d’exposer des hologrammes visibles au laser, à cause des contraintes de sécurité et, bien sûr, financières.