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« La réalité virtuelle peut-elle changer le monde ? »

mai 8, 2018 - Actualités

C’est le titre de la conférence organisée par UP Conférences  en partenariat avec SILEX ID, et en présence de Pierre-Emmanuel LE GOFF (scénariste et producteur La Vingt-Cinquième Heure), Sarah MARIOTTE-TIMARCHE (fondatrice de SmartVR for Impact), Thomas GREGORY (chef du service de chirurgie et traumatologie du sport à l’hôpital Avicenne et fondateur de l’institut Moveo) et animé par Matthieu VETTER (fondateur SILEX ID).dans les locaux d’Accenture le jeudi 26 avril 2018.
En préambule, la démonstration d’un projet en VR intitulé « Téléportation ».Alors, certes, on se retrouve immergé dans un espace à 360° mais ce n’est pas bluffant. Et puis, le fait de passer les casques d’un participant à un autre sans le moindre nettoyage me gêne un peu.

Puis nous sommes passés aux conférences et Matthieu Vetter a rappelé la différence entre la réalité virtuelle, ou l’immersion dans un espace à 360°, la réalité augmentée qui ajoute une couche d’informations sur la réalité et la réalité mixte telle qu’avec l’Hololens.
Smart VR veut créer l’impact social en utilisant la technologie de la V.R.

Tandis que P.E. Le Goff réalise des films en V.R. de trois types : tournage pour écran plat , sphérique ou géant pour planétariums.

Le Dr Thomas Grégory quant à lui, a réalisé la première opération d’une épaule, en interaction avec quatre chirurgiens dont un à Tokyo communiquant par Skype depuis un cockpit chirurgical stérile. Avec le Hololens, on a accès à l’imagerie 3D du patient. Bien sûr, l’opération dure une heure et demie, le casque est lourd et c’est assez contraignant. C’est néanmoins une nouvelle expertise qui permettra de former les chirurgiens différemment.

         
Il n’y a pas eu de réponse au titre accrocheur de la conférence mais j’ai fait observer à Thomas Grégory que, même si son exposé était passionnant,  les Hololens n’ont rien d’holographique, malgré les dires de Microsoft.